« Emporté? Emporté ? Ces mots résonnent en moi comme un glas... Et mon harpon? Disparu, lui aussi ? Planté dans le corps de Moby Dick… Mais ce n’est pas fini ! Non, non, ce n’est pas fini ! »

Auteur : Herman Melville
Illustrateur : Enton Comaev
Sortie : 1851
Editeur : Sarbacane
165 pages
Résumé
Depuis qu’il a perdu sa jambe, le capitaine Achab n’a qu’une seule idée en tête : retrouver et tuer la célèbre baleine blanche : Moby Dick ! Avec son équipage, il arpente les mers à sa recherche. Mais rien. Moby Dick arrive toujours à se faufiler entre ses doigts comme de la fumée. Ils traversent mers et océans mais, à chaque fois, aucune trace de Moby Dick. Le capitaine Achab ne renonce pas pour autant ! Persuadé qu’il va bientôt la retrouver, il continue, continue, continue… Et sur son chemin, lorsqu’il croise un navire, il lui demande : « Avez-vous vu la célèbre baleine blanche ? » et, sans prendre garde aux avertissements, il continue encore et toujours plus loin.
Mon avis
Ce roman montre bien comment se déroulait la vie des marins au XIXème siècle. Pleine d’aventures dangereuses, la vie des baleiniers n’était pas sûre et l’on ne revenait pas forcément d’un voyage. Moi, j’aurais bien aimé naviguer sur la mer mais plutôt en tant que pirate, comme ceux qui pourchassent le capitaine Achab pendant qu’il recherche la baleine blanche. J’ai trouvé ce livre un peu violent mais, à cette époque-là, il était considéré comme normal de chasser les baleines. Cela remplaçait le pétrole car on chassait la baleine pour son huile. J’adore les aventures en mer mais la chasse à la baleine me révulse.
L’entêtement du capitaine Achab pour tuer Moby Dick le mènera à sa perte. J’ai été soulagée de voir que Moby Dick ne mourait pas. Mes sentiments ont changé pendant le récit car au début, j’en voulais à Moby Dick pour la jambe du capitaine Achab (elle la lui a mangée), mais après la lecture de ce livre j’ai trouvé que Moby Dick avait raison de se défendre.
Je voudrais dire que les illustrations sont vraiment magnifiques, je les trouve très réalistes et elles sont très vivantes. L’illustrateur a vraiment fait de belles peintures.
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